Une semaine en visite, mais des jours de retrouvailles, de découvertes et de liberté dans les rues et parmi les millions de personnes du monde qui marchent NYC.
Quand les chemins de la vie nous mènent sur les grands axes. Les personnes qui marquent nos esprits, comme celles qui sont signifiantes au plus près de nos coeurs, ce sont les amis et, bien sûr, la famille, proches de mille manières de nos structures intimes et qui ont construit notre histoire.
Parmi les professions qui font nos consciences et modèlent le visuel de nos réalités, il y a l’architecture. D’abord le fondement artistique de cette discipline, puis ce levier géométrique, mathématique et organisationnel de l’espace-volume et de la modélisation des volumes, des formes et des imaginaires.
Partout l’univers est architectural. De la conception à la réalisation, en passant par les étapes de matérialisation et de mise en action jusqu’au design de finition, l’art de structurer les idées, les émotions et tout ce que l’espace-temps peut offrir à notre perception. Entre l’horizon intérieur et les limites spatiales, les altitudes et les soubassements, les dimensions qui rayonnent et caractérisent la lumière, les surfaces et les reliefs, l’architecture compose les paysages, ouvre les interventions et les facilitent les inter relations entre les disciplines de l’ingénierie, des arts, de la culture. Il y a aux confins conceptuels de l’architecture, comme dans son intimité, l’invitation à des collaborations interdisciplinaires, entre sciences dites dures et sciences sociales.
Parmi les effets, et jusqu’à l’impact temporel et intemporel de l’architecture, l’interdisciplinarité du social, de l’économique et du spirituel, montre à la fois l’enracinement humain et situe aussi l’ouverture technologique immense du design tridimensionnel, des réalités multipliées, qui non satisfaites de mettre en scène les idées, les émotions, les sentiments, réussissent à créer et à déconstruire autant les paradigmes culturels qu’à innover en suggérant de nouveaux langages temps-espace-temps-mémoire et spatialité spirituelle sans dimension.
J’ai vu cette dimensionnalité multiforme dans cette oeuvre qui fait hommage devant le site des Tours jumelles disparues.